Vendredi 17 mai, l’opéra de Massy s’est attaqué au célèbre Rigoletto (1851) de Giuseppe Verdi. Défi de taille, tant cet opéra, simple en apparence, est néanmoins semé d’embûches pour les metteurs en scène. Rigoletto n’est pas seulement un bouffon à la langue acérée, c’est un père aimant (certes étouffant) sur qui le sort s’acharne. Gilda incarne la pureté et la naïveté, mais son sacrifice pour les deux hommes qu’elle aime, le Duc et son père Rigoletto, lui donne (certes tardivement) une profondeur d’âme.
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